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Gauche alternative en Corse

La honte du service public sur FR2

Publié le 26 Février 2017 par Manca alternativa

Face à Jean-Luc Mélenchon, le 23 février, Pujadas et sa clique ont exécuté tous les pas de leur danse habituelle : Poutine, Cuba et surtout, à toutes les sauces et jusqu’à l’écœurement, Marine Le Pen. Que l’on soutienne ou non le candidat de la France Insoumise, chacun devrait s’inquiéter que France 2 se risque, pour l’abattre, à faire le jeu du Front National.

Si vous avez été scandalisé par la façon dont a été traité Jean-Luc Mélenchon dans l'Emission Politique jeudi 23 février vous demanderez aux journalistes intervenants de présenter des excuses aux citoyens payant leur redevance et sensibles aux idées de la France Insoumise. Pour accéder à la pétition cliquer sur l'image ci-dessous.

La honte du service public sur FR2

 

 

Chaque fois que la clique de Pujadas dégote un électeur ou une électrice pour aborder uine question à poser à leur invité, il faut aller gratter un peu derrière... surtout lorsque l'invité est Jean-Luc Mélenchon.

Revenons sur la Calaisienne qui  s'est présentée comme une restauratrice devenue chômeuse et SDF à cause des migrants. La réalité est plus complexe et  plus nuancée si l’on en juge par des extraits d’articles parus dans la presse locale…

" En 2013, 700 migrants sont arrivés place Henri-Barbusse. Lors du démantèlement, tout a été clôturé, autrement dit le parking. Résultat, les routiers, mes principaux clients, ne pouvaient plus venir », explique-t-elle."

" Le 29 juin 2016, Valérie Gloriant voit l’appartement où elle vivait avec sa belle-fille brûler. « J’ai perdu mon premier logement à cause de la pression migratoire et là, un autre logement brûle. Depuis, on vit dans une chambre d’hôtel payé par l’assurance. Ça ne peut pas durer éternellement », soupire-t-elle en réitérant son appel du pied à la municipalité. « J’aimerais au moins récupérer un logement. J’estime y avoir droit tout de même, je suis Calaisienne », lance-t-elle.

À la suite de l’incendie, elle, sa fille et sa belle-fille se sont rendues à l’association de réinsertion calaisienne Mahra – Le Toit. « On nous a proposé de vivre dans un immeuble, également prévu pour les demandeurs d’asile. J’ai tout perdu à cause des migrants, je ne pouvais pas », précise la commerçante.

En attendant de trouver une situation immobilière stable, la commerçante a retrouvé un autre emploi au Sixties, une brasserie située rue de la Mer. « Mon brasseur m’a appelée, m’a parlé de cette affaire. Ma fille est devenue propriétaire des lieux et je suis devenue salariée. C’est déjà ça ».

Voir l'article en cliquant ici (Debunker de Hoax) .

Barbutu

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