• Consolider et amplifier le mouvement des Insoumis

    Manca alternativa

    appelle à voter pour tous les candidates et candidats

    présentés par

    la Corse insoumise/Corsica ribella

    1ère circonscription de la Corse du Sud :

    Jacques Casamarta

    Christine Malfroy

    2ème circonscription de la Corse du Sud :

    Dylan Champeau

    Sandrine Nobili

    1ère circonscription de la Haute Corse :

    Catherine Laurenti

    Claude Franceschi

    2ème circonscription de la Haute Corse :

    Jean Moghraoui

    Amélie Raffaelli

     

     

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  • Consolider et amplifier le score du premier tour de la présidentielle

    Les insoumis présents dans toutes les circonscriptions de Corse

    Les comités de la Corse insoumise/Corsica ribella ont organisé, ce mardi 17 mai, à Ajaccio, une conférence de presse. Cette dernière avait pour but de présenter les candidats investis par la France insoumise aux prochaines élections législatives, sur la base du programme l’Avenir en commun et de sa déclinaison insulaire.
    - Dans la 1ere circonscription de la Corse du Sud, il s’agit de Jacques Casamarta et de Christine Malfroy. Dans la 2eme circonscription, de Dylan Champeau, 18 ans, le plus jeune candidat de France et de Sandrine Nobili.
    Trois points forts ont été soulignés lors de la conférence de presse :

    1. Le candidat de la France insoumise a réalisé un score remarquable (19,60%) sur l'ensemble du territoire national et plus de 14% pour la Corse avec une progression pour notre île de 5%, par rapport à l'élection de 2012. C'est dire l'importance du courant d'adhésion aux propositions contenues dans le programme l'Avenir en commun.

    Les insoumis présents dans toutes les circonscriptions de Corse

    2. Emmanuel Macron a été élu président de la République avec 66% des suffrages exprimés. Si l'on tient compte du nombre des inscrits ce pourcentage tombe à 44% ! En outre, des millions d'électeurs qui ont voté pour lui, dont de nombreux électeurs de gauche, l'ont fait souvent par défaut, pour faire barrage au Front national. Donc, on peut dire que la légitimité du nouveau président pose problème. Malgré un score peu glorieux Emmanuel Macron décide de poursuivre une politique ultra libérale. Son acte d'allégeance à Angela Merkel – pourquoi n’est-il pas allé d’abord à Rome ou à Madrid ? - et la nomination d'Edouard Philippe, homme de la droite décomplexée, comme premier ministre en sont deux exemples significatifs. 

    3. La lutte continue. Il faut consolider et amplifier les acquis électoraux de la France insoumise, sur la base du programme l'Avenir en commun pour montrer qu'il y a des réponses véritablement de gauche aux différentes urgences qui se posent au pays et plus particulièrement à la Corse :

     

    3.1. Urgence sociale avec un appauvrissement des populations les moins privilégiées, un chômage élevé, surtout chez les jeunes, une difficulté croissante pour se loger, etc. Donc, combattre plus que jamais les politiques d'austérité et de régression sociale imposées par les marchés financiers et Bruxelles.
     

    Les insoumis présents dans toutes les circonscriptions de Corse

    3.2. Une urgence démocratique, au regard des dérives politiciennes auxquelles on assiste aujourd'hui : corruption, clientélisme, professionnalisation outrancière de la politique, etc. D'où nécessité de changer de constitution. De mettre fin à la monarchie républicaine qui caractérise la 5e république, avec des mesures strictes, comme par exemple, le non cumul des mandats et la possibilité de révoquer les élus qui failleraient à leur mission.
     

    3.3. Urgence écologique. Protéger notre environnement devient devient un enjeu vital pour la planète. Celle-ci n'appartient pas aux multinationales, ni aux spéculateurs.

    3.4. Urgence de la paix. De multiples foyers de guerre se répandent à travers la planète, en particulier au Moyen-Orient et en Afrique : Syrie, Irak, Libye, Mali, etc. La solution ne peut être que politique. La guerre entraîne la guerre. Le risque d’un embrasement général est au plus haut niveau.

    C'est sur tous ces problèmes que les candidats de la Corse insoumise s'engagent dans l'intérêt bien compris du plus grand nombre. La campagne est lancée. Un appel est lancé en direction de tous ceux qui souhaitent de vrais changements. Il faut tout faire pour que le nouveau président et son gouvernement qui se met en place n'obtiennent pas la majorité à l'assemblée nationale. C'est possible.

    Les insoumis présents dans toutes les circonscriptions de Corse

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    Communiqué de la CGT

    Emmanuel Macron vient d’être élu président de la République. Chacun connaît les conditions qui ont conduit à ce résultat au 1er tour et de façon plus évidente au 2nd tour.

    Les enquêtes d’opinion à la sortie des urnes comme le taux record d’abstention et de votes blancs ou nuls confirment que cette élection n’est pas un plébiscite à un programme. Pourtant, c’est à ce tour de passe-passe que se livre le Président de la République et son entourage. La nouveauté ne peut se résumer dans l’âge du capitaine ou en essayant de brouiller les cartes sur l’échiquier politique français.

    La nomination d’un Premier ministre proche d’Alain Juppé et soutien de François Fillon est symbolique du sens donné à l’action du gouvernement. La composition du gouvernement montre également que les ministres ne sont pas tous des inconnus de la politique.

    Maintenant, c’est la casse du code du travail et de la protection sociale qu’Emmanuel Macron compte imposer, à coup d’ordonnances, sous l’injonction de Pierre Gattaz, pendant la période estivale.

    Cette méthode ne répond en rien aux attentes, aux besoins, aux aspirations des salariés et du pays. Elle est le moyen de tenter de contourner le débat et de désamorcer les mobilisations.

    Il n’y a ni urgence, ni efficacité à poursuivre une politique de déréglementation du marché du travail qui, à l’image du bilan du quinquennat Hollande génère chômage, précarité, explosion des inégalités.

    Partout en Europe, ces politiques d’austérité donnent les mêmes résultats et alimentent la montée de l’extrême droite.

    Le recyclage des vieilles recettes libérales n’est nullement un signe de modernisme. Ce sont les enseignements que chacune et chacun peut tirer des mobilisations contre la loi travail en 2016. Une loi à laquelle 70% de l’opinion publique et une majorité de syndicats se sont opposés mais qui fut adoptée par un 49-3 à l’assemblée nationale.

    La CGT se rendra au rendez-vous avec Emmanuel Macron dès qu’il sera fixé. Mais nous ne ferons pas office d’alibi avec un pseudo dialogue social ou une simple concertation.

    Nous nous y rendrons de façon offensive, en portant nos exigences sociales, empreintes de modernité pour toutes et tous.

    La CGT demande l’ouverture d’une négociation sociale résolument tournée vers le XXIème siècle portant notamment sur :

    la réduction du temps de travail à 32 heures et l’augmentation des salaires et des pensions de retraite ;
    le renforcement du droit d’expression des salariés et d’intervention de leurs représentants ; l’amnistie pour les militants syndicaux et le respect des libertés syndicales ;
    le renforcement des conventions collectives et le rétablissement de la hiérarchie des normes et du principe de faveur.

    Ainsi, la nouvelle proposition de code du travail, produite par le Groupe de Recherche pour un Autre Code du Travail (GR-PACT, universitaires spécialisés en droit de travail) est un premier socle qui démontre qu’il est possible d’allier simplification et renforcement des droits et garanties sociales pour répondre aux enjeux de notre temps.

    C’est un nouveau message fort que la CGT veut faire entendre à la veille de nouvelles échéances politiques importantes pour le pays.
    Nous sommes conscients que, face aux objectifs du Président de la République et du gouvernement avec le soutien du Medef, une mobilisation du monde du travail, des privés d’emplois, de la jeunesse et des retraités est indispensable. La CGT entend bien y travailler très rapidement dans un cadre syndical le plus unitaire possible.

    Sans attendre, la CGT appelle ses organisations à se déployer, partout dans les entreprises, les services et les localités pour débattre avec les salariés, les citoyens et faire partager ses exigences de progrès social.
    Elle décide, dès à présent, de faire de la troisième semaine de juin un temps fort d’initiatives et de mobilisations dans l’ensemble des territoires. Elle appelle également à une syndicalisation massive.

    Montreuil, le 17 mai 2017

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  • Le troisième tour de la présidentielle

    Un tour décisif

     

    On continue

    Les militants et sympathisants des comités JLM2017 de la région ajaccienne se sont réunis le 4 mai à Ajaccio. Au menu :

    - La situation politique à trois jours du deuxième tour de la présidentielle.

    - Les législatives des 11 et 18 juillet prochains.

    Nous sommes donc à l’heure du « choix ». Les media et pratiquement toutes les composantes du landernau politique accentuent leur pression pour nous obliger à voter pour Emmanuel Macron, unique rempart – paraît-il – face au danger Marine Le Pen ! Tout ce beau monde tape à bras raccourcis sur Jean-Luc Mélenchon et sur les insoumis et tente de nous culpabiliser afin de nous contraindre à mettre le « bon » bulletin dans l’urne. Mais qu’ont-ils fait tous ces gens-là, comme disait Brel, pendant des années et des années pour lutter contre la montée du Front national ? Bien au contraire, ils en sont responsables, au moins pour deux raisons. Ils ont contribué à banaliser et à dédiaboliser le parti d’extrême droite. Par exemple, les media ont consacré de multiples articles et diffusé de nombreuses vidéos sur la châtelaine de Montretout. De surcroît, tous ces gens-là ont soutenus allègrement les politiques d’austérité et de régression sociale menées depuis des décennies. Politiques responsables de la situation difficile, parfois dramatique pour des dizaines de millions de Français et d’Européens. Donc, pas de morale, pas de chantage. Disons basta à tous ces mauvais conseilleurs. Les insoumis sauront se déterminer en toute liberté. Ils n’ont pas besoin que l’on leur tienne la main. D’ailleurs, une consultation a eu lieu en direction des inscrits dans les différents comités de base JLM2017. On connaît les résultats. Près de 50% de ces inscrits se sont prononcés : un tiers pour le vote macron, un tiers pour le vote blanc ou nul et un tiers pour l’abstention. Une seule consigne a été donnée : Pas une voix pour Marine Le Pen.

    On continue

    Quel que soit le résultat de l’élection présidentielle, le combat pour un vrai changement continue. Il nous faut consolider et amplifier le score obtenu par Jean-Luc Mélenchon (19,60%). C’est l’objectif du troisième tour, à savoir les législatives. Nous devons œuvrer pour envoyer le maximum de députés de la France insoumise à l’Assemblée nationale pour y défendre notre programme l’Avenir en commun. La bataille s’annonce difficile, rude. Les coups vont pleuvoir de tous les côtés, voire même aura-t-on droit à quelques peaux de bananes de-ci de-là. L’heure est à la cohésion de notre mouvement et nous devons engager la bataille dès maintenant, en développant les initiatives en direction des populations, comme nous l’avons fait durant la campagne de l’élection présidentielle, avec davantage de conviction.

    Pour la Corse il y a d’ores et déjà trois circonscriptions pourvues en candidats estampillés Corse insoumise/Corsica ribella : La 1er circonscription de la Corse du sud, les 1er et 2e circonscriptions de la Haute Corse. Reste la 2e circonscription de la Corse du sud pour être complet. C’est en bonne voie.

    On continue

     

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    En avant pour les législatives

     

    Les comités Corse du Sud insoumise, Corsica ribella, se sont réunis jeudi 27 avril à Ajaccio, pour tirer les enseignements du premier tour de la présidentielle, pour déterminer leur position pour rapport au deuxième tour et pour aborder la question des prochaines élections législatives.

    Emmanuel Macron et Marine Le Pen ont été choisis par les électeurs avec respectivement 24 et 21,60%. François Fillon arrive en troisième position avec 20% et Jean-Luc Mélenchon 19,60% au plan national. En Corse, le candidat de la France insoumise approche les 15%. Dans les deux cas, il a réalisé un score tout à fait honorable.

    L’élection présidentielle a été marquée par des affaires peu reluisantes qui ont concernées François Fillon, le vertueux de la Sarthe et Marine Le Pen, la championne du slogan « Tous pourris » ! Elle a été marquée également par des attaques contre Jean-Luc Mélenchon, surtout à l’approche du scrutin, au fur et à mesure que notre candidat montait substantiellement dans les sondages. Dans la même séquence, les media et pas mal d’experts et autres fins analystes politiques faisaient preuve de la plus grande mansuétude à l’égard de l’égérie du château de Montretout. Il est vrai qu’à une certaine époque on tapait plus sur le Front populaire que sur Hitler. Le verdict des urnes est donc tombé. Macron et Le Pen ont été « nominés » pour la suite des événements. Il nous faudra choisir – paraît-il - entre l’un et l’autre.

    Emmanuel Macron. Qui est-il ?

    Un nouveau Rastignac, représentant direct de l’oligarchie financière, dont l’objectif déclaré est de poursuivre ardemment, sous couvert de modernité, les politiques d’austérité menées au cours des dernières décennies, en flexibilisant un peu plus le travail, en ubérisant la société française et en demandant aux Français, surtout les plus fauchés de se serrer un peu plus la ceinture. Bref, un beau programme en perspective.

    Halte aux chantages

    Marine Le Pen. Qui est-elle ?

    Une femme qui se dit anti-système, appartenant à une dynastie politique, fille de son digne père, mais vivant grassement du système et pur produit de ce système.

    En résumé deux personnages du système.

    Le grand capital ne met jamais un seul fer au feu.

    Donc, nous voilà confrontés à un choix « cornélien », façon de parler. Lequel des deux choisir ?

    Les participants à la réunion ont eu à en débattre, avec détermination et passion pendant quatre heures. La quasi-totalité des intervenants s’est prononcée sans ambiguïté, ni pour Macron et ni pour Le Pen.

    Comment voter pour un Macron, ultralibéral dans l’âme, à l’opposé de nos idées et propositions ? Lui, malgré son air poupin,  qui préconise un surcroît d’austérité et de régression sociale. Lui qui avec ses amis politiques ont favorisé la montée du Front national. Ce serait se mettre la corde au cou que nous présenterait notre bourreau.

    Comment voter pour Marine Le Pen qui sent l’extrême droite à plein nez, elle la blanche colombe aux ailes propres qui exploite honteusement la détresse de millions de Français ? Elle qui crache son venin sur les immigrés. La bête immonde, comme disait Berthold Brecht n’est pas morte. Elle est prête à resurgir en fonction de la volonté du capital.

    Marine Le Pen, elle qui à l’outrecuidance de récupérer tranquillement une bonne partie du programme l’Avenir en commun, pour faire social, afin de séduire la classe ouvrière et tous ceux qui souffrent des politiques d’austérité. Ce n’est pas nouveau. N’ayons pas la mémoire courte. Benito Mussolini tenait le même discours, dans les années trente. Flatter les petits, feignant de taper sur les banques, les étrangers, et sur les gros. Mais in fine, servir les intérêts des gros. Par exemple Hitler n’a-t-il pas servi les intérêts des Konzern allemands, comme Krupp, Siemens, Bayer et compagnie ?

    Les participants à la réunion ont fait leur choix, comme le feront les 450.000 insoumis, invités de l’exprimer lors d’une consultation via internet. Ca sera soit l’abstention, soit un vote blanc ou nul, malgré les fantastiques pressions qui s’exercent d’une manière insolente et inadmissible, par voie de presse et autres, sur les électeurs de Jean-Luc Mélenchon. De qui se moque-t-on ? On l’a déjà dit. Qui est responsable de la montée du Front national et de ses positions nauséabondes ? Qui sont les munichois ? Qui ?

    Dans la foulée de la présidentielle, il y aura les législatives. C’est là que vont s’exercer les nouveaux rapports de force. Il faudra se battre, non seulement pour maintenir nos 19,60%, mais d’aller au-delà pour constituer une véritable force de gauche en capacité de peser réellement sur les futurs choix pour notre pays.

     

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    Lettre aux soutiens de Benoît Hamon

     

    Il arrive que l’Histoire avance à grands pas. C’est ce qui est en train de se passer dans notre pays. Nous, militants de la France insoumise, de la Corse Insoumise avions le sentiment, il y a plusieurs mois déjà qu’une vague de mécontentement et d’indignation sans précédent ne pouvait que finir par se manifester au grand jour.

    Ce jour est arrivé. Après le déni de démocratie qui consistait à enterrer purement et simplement le vote populaire en faveur du non au référendum sur le traité européen, après la mise en pièce du droit du travail grâce à l’utilisation abusive du 49.3, après la complaisance du gouvernement sortant pour le monde de la finance, il fallait bien que le peuple fasse entendre sa voix d’une manière ou d’une autre.

    Il le fait aujourd’hui en créditant le candidat de la France insoumise, Jean Luc Mélenchon  d’un score pouvant lui permettre d’être présent au second tour de l’élection présidentielle et de battre le Front National.

    Je sais, nous savons que des désaccords existent entre nos deux programmes, je sais et nous savons que ces points de désaccord ont empêché qu’une alliance puisse voir le jour autour d’une candidature unique qui aurait assuré un succès certain des forces progressistes. Quelles qu’en soient les raisons, ces dernières sont aujourd’hui derrière nous et il serait vain et parfaitement dommageable de nous y attarder.

    En soutenant Benoît Hamon vous avez fait le choix de soutenir un candidat en rupture avec les dérives libérales du Parti Socialiste, personne ne peut le nier et ceci est tout à votre honneur. Il reste qu’aujourd’hui l’appellation même du parti auquel appartient votre candidat souffre d’un tel discrédit qu’ajoutée aux trahisons dont il a été victime, elle rend impossible un positionnement pour le second tour des élections présidentielles.

    Je comprends parfaitement les réticences qui sont les vôtres à abandonner votre candidat, lequel mérite l’estime de tout un chacun mais, en demeurant sur une telle position, vous ne changerez pas la donne tant l’écart est important. Vous minimiserez peut-être son échec mais ne l’empêcherez pas. A l’inverse, en votant pour la France insoumise, vous apporterez votre soutien à la victoire possible d’un grand mouvement populaire dont vous ne pouvez demeurer absents.

    L’Histoire se joue en ce moment même et les valeurs qui sont les vôtres doivent trouver leur juste place au sein de cette vague qui effraie tant ce monde de la finance et de l’injustice que nous haïssons tous ! Nous voulons donner du sens à une perspective progressiste et nous voulons construire la gauche du 21 ème siècle. Une gauche fidèle à ses valeurs de justice, de solidarité, de dignité et de paix. En Corse aussi nous avons besoin de cet espoir.

    Soutiens de Benoît Hamon vous êtes aussi cette France insoumise, votez pour elle !

    Jacques Casamarta porte-parole de Jean Luc Mélenchon en Corse

     

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